EXPEDITION EN SCOOTERS; samedi 20 juillet
Putain de nuit de merde (deuxième partie)!...:)
Le DJ local a commencé à nous les briser à 20:00 jusqu'a 23:15; puis de 4:30 jusqu'à 5:30, ce fut le CD. Après ça, tu m'étonnes qu'ils passent en mode Big Lebwoski tout le reste de la journée. J'ai pas pu m'empêcher de lâcher un "ta gueuuuuuuuuuuuuuuuuuuuule, connaaaaaaaaaaaard" vers les 4:57, en mémoire de mon père...:)
Le crew a envie de passer une journée supplémentaire à Tetebatu; je suis plutôt chaud pour calter du côté du SO, à Gili Gede. Ça tombe bien puisque mon contact est une française: tout est full jusqu'en novembre et la côte ne propose que quelques homestays hors de prix. Lombok est une île assez rustique où le tourisme y est en grande partie à l'âge de pierre, exceptés quelques spots ayant une bonne décade d'avance (Gilis, Sengiggi, Kuta). Ça a le mérite de proposer de l'authentique comparé à Sanur; par contre, pour l'hébergement...
Du coup, on reste une journée de plus et on loue quatre scooters: Foufoune/Rémy; Kiki/Duane; Carole/Fanfan et Louna/moi. Carole teste avec un peu d'apréhension: c'est une première. Elle finit dans le fossé au premier demi-tour!...:)
Louna n'est pas rassurée au début et tire la tronche. Nous avions pour but de trouver les ateliers d'artisants et nous finirons par trouver nibe. Le guide est bien souvent indispensable si on veut profiter de l'essentiel. Notre circuit nous emmène de villages en petites villes où les locaux sont partagés entre les moqueries et la curiosite.
On pique-nique dans un endroit en retrait, because ramadan, mais très vite, gamins et villageois viennent à la rencontre de la famille Groseille, téléportée dont on ne sait où... Je prends une leçon d'indonésien avec Linda, 16 ans. Par contre, impossible de la prendre en photo...
Retour sur Tetebatu où l'on emprunte une route défoncée pour trouver une nouvelle chute d'eau. Carole et Fanfan se pannent. Et comme la GoPro ne bug pas à ce moment, ça pourrait faire très rapidement un buzz sur LaTeub!:)
Avec Foufoune et Duane, on poursuit le cross, atterrit dans un hameau, rencontre un peon qui nous emmène à la fameuse chute d'eau, au travers de ses rizières, sur un rythme de stage de remise en forme commando, le tout en tongs. Très bon trip.
Retour à 16:00 au homestay, "because many many rainy". A force de grignoter des gâteaux et des bananes (pendant le ramadan, pas de warang d'ouvert mais des épiceries à gogo), on finit par avoir la dalle et nous attendons avec impatience l'heure de notre cantine (18:30). On se met une de ces baffrréeeeeeeeeeeees!...:)
Partie de Uno endiablée avec les nains pour finir la soirée. Mais à Tetebatu, on se couche toujours tôt, en prévision des nombreuses partys nocturnes...